Réponse de Caroline Bautz, Directrice Groupe du Pôle Conseil et Communication Réglementée, Labrador
Oui, cela a d’autant plus d’intérêt que ces introductions permettent de ne pas voir l’information uniquement par le prisme du quantitatif. Et Non il ne faut pas que cette pratique disparaisse car elle permet d’avoir rapidement une vue globale de l’émetteur avec la mise en avant de points saillants concernant les perspectives, la stratégie, la gouvernance, le profil de risques, etc. C’est en substance les premiers enseignements de l’étude (à paraître) menée auprès des grands lecteurs et utilisateurs de l’information d’entreprise. Ces éléments de synthèse sont une valeur ajoutée à ce document : ils facilitent le travail d’analyse, de contextualisation et de compréhension de l’entreprise. D’ailleurs les émetteurs interrogés dans le cadre de notre enquête “ESEF, les entreprises françaises sont-elles prêtes” pensent utile (à 65 %) de baliser dans le futur un certain nombre d’indicateurs économiques ou RSE, des indicateurs souvent présents dans ces parties introductives